Plongeon dans le passé colonial de la Bolivie à Potosi, Sucre et Tarabuco
Terra bolivia
Potosí, Sucre et Tarabuco, trois noms évocateurs du riche passé colonial de la Bolivie. Trois villes au destin différent.
Potosí
Cité la plus peuplée du monde au temps de sa magnificence, lorsque l’on extrayait des entrailles du « Cerro Rico» l’argent qui alimenta le capitalisme européen à partir du XVIè siècle. Aujourd’hui, le travail dans les galeries souterraines continue comme autrefois. S’y plonger, c’est pénétrer dans le monde chargé de traditions des mineurs et approcher leur étrange relation avec la feuille de coca et le « Tio » (la figure qui règne sur le monde souterrain).
Un passage à Potosi est une immersion dans le récit d’Eduardo Galeano, les veines ouvertes de l’Amérique latine, sur l’histoire du pillage d’un continent débuté en Bolivie.
Sucre la blanche
Première capitale de la Bolivie, ressemble aujourd’hui à une capitale provinciale à la vie tranquille. Sa richesse architecturale est inégalée. Ici, aucun gratte-ciel ne vient déranger l’harmonie des pierres blondies par le soleil, ni le savant étagement des toits roux et les lignes sobres et claires des nombreux clochers de la ville.
Le marché de Tarabuco
A 65 km de Sucre, la bourgade de Tarabuco fut fondée pour endiguer les expéditions des indiens Chiriguanos venus du sud. Elle est aujourd’hui connue pour son marché artisanale, l’un des plus typiques du continent, et pour ses habitants qui ont gardés intacts leur art vestimentaire et les traits particuliers de leur race, finesse du visage et haute stature.
Que dites-vous de nous rejoindre pour immerger dans les incontournables de la Bolivie ?